Nicole Kidman interrompt soudainement le tournage de son récent film en cours de production

Découvrez les raisons qui ont contraint Nicole Kidman à interrompre brusquement le tournage de son nouveau thriller envoûtant, intitulé Babygirl.
Un rôle original qui marque les esprits
À l’âge de 57 ans, Nicole Kidman continue de nous étonner. Dans le film « Babygirl », elle joue le rôle d’une femme d’affaires influente impliquée dans une relation passionnée avec un stagiaire bien plus jeune, interprété par Harris Dickinson (« Sans filtre »). Ce personnage intense explore les notions de désir, de pouvoir et de contrôle.
Une histoire inspirée de faits réels
Nicole Kidman a partagé les défis rencontrés lors du tournage de « Babygirl », révélant qu’elle a dû interrompre une scène intense en raison de l’émotion ressentie. Ce film audacieux tire son inspiration d’une histoire vraie.
Un film qui brise les conventions
À 57 ans, Nicole Kidman continue de surprendre. Dans « Babygirl », un thriller dramatique produit par A24, elle incarne une femme d’affaires impliquée dans une relation interdite avec son jeune stagiaire, joué par Harris Dickinson. Un rôle qui la pousse hors de sa zone de confort, mais qu’elle aborde avec courage.
En coulisses, Halina Reijn, réalisatrice et scénariste, s’est inspirée d’un récit troublant : celui d’une femme découvrant tardivement une nouvelle dimension de sa vie sentimentale. Une plongée dans les émotions féminines, servie par un scénario aussi intense que provocant.
Une expérience émotionnelle intense
Filmer certaines scènes a représenté un défi, même pour une actrice chevronnée comme Nicole Kidman. Malgré une préparation minutieuse et une bonne entente avec ses collègues, la charge émotionnelle s’est parfois avérée écrasante.
« À un moment, j’ai réalisé : ‘Je ne peux pas continuer de cette manière' », confie-t-elle au Sun, décrivant un tournage éprouvant. En face de Harris Dickinson et Antonio Banderas, qui incarne son mari dans le film, elle a expérimenté un tourbillon d’émotions, oscillant entre vulnérabilité et frustration.
Entre succès professionnel et drame personnel
Présenté à la Mostra de Venise 2024, « Babygirl » a valu à Kidman une ovation debout de sept minutes et le prestigieux Prix Volpi de la meilleure actrice. Cependant, ce triomphe a été assombri par une tragédie : la perte de sa mère le jour de la cérémonie de clôture. Dans l’incapacité d’y assister, c’est Halina Reijn qui a accepté le prix en son nom.
Malgré ces épreuves, Nicole Kidman démontre une fois de plus sa capacité à se renouveler et à embrasser des rôles toujours plus intenses et courageux.
Les défis d’une expérience artistique
Le tournage de scènes délicates requiert une confiance absolue entre les acteurs, ainsi qu’une maîtrise émotionnelle importante. À certains moments, Nicole Kidman avoue s’être sentie submergée, au point de vouloir tout arrêter.
« Par moments, je pensais : ‘Ne m’approche pas. Peu importe si je ne ressens plus rien de ma vie !' », partage-t-elle.
Un succès malgré les obstacles
Malgré ces défis, « Babygirl » a connu un franc succès au Festival de Venise, recevant une ovation debout de sept minutes. Nicole Kidman a remporté le prix de la meilleure actrice, même si ce moment a été assombri par la perte tragique de sa mère.
Un triomphe au box-office
Avec des recettes de 60 millions de dollars pour un budget de 20 millions, « Babygirl » s’affirme comme une œuvre incontournable du cinéma d’auteur.
L’impact émotionnel du cinéma
« Babygirl » ne se contente pas de susciter l’intérêt par ses scènes : il soulève de véritables questionnements sur le plaisir, le consentement et les limites de l’intimité à l’écran.
Nicole Kidman a-t-elle franchi une limite dans son implication artistique ?
Cette expérience a profondément marqué l’actrice, mais sa performance a été saluée par la critique.
« Où se situe la frontière entre l’art et la vulnérabilité ? » Une interrogation qui résonnera longtemps après la fin du film…