À seulement 48 ans, cette mère célibataire affronte un diagnostic inattendu : son témoignage bouleversant sur les signes avant-coureurs de l’Alzheimer

Tout semblait normal dans le quotidien de Rebecca, partagé entre son travail et sa famille, jusqu’à ce moment de confusion totale devant son ordinateur. Ce trou de mémoire inexplicable marquera le début d’un combat contre une maladie qu’elle pensait réservée aux personnes âgées.
Un diagnostic qui bouscule les préjugés
Lorsqu’on évoque la maladie d’Alzheimer, on imagine généralement des personnes âgées. Pourtant, cette affection cognitive peut survenir bien plus tôt, comme pour Rebecca, touchée par **la forme précoce** de la pathologie – un cas rare mais particulièrement éprouvant.
*« Je m’efforce de garder mes habitudes, de m’appuyer sur ma famille… mais j’ai l’impression de perdre pied face au temps qui passe »*, partage-t-elle sur sa **page de crowdfunding**. Entre courage et conscience aiguë de sa situation, elle livre un témoignage poignant sur son quotidien transformé.
Quand le familier devient étranger
Les premiers symptômes ? Rebecca les a d’abord mis sur le compte du surmenage. Mais ce jour où son esprit s’est brusquement « éteint » devant son écran d’ordinateur, la réalité s’est imposée. *« Un blanc total. Comme si mon cerveau avait été mis en veille »*, décrit-elle avec émotion.
Puis les oublis se sont multipliés : le plat laissé brûler sur la cuisinière, les sacs de provisions abandonnés dans les transports… *« Le déclic ? Ce jour où j’ai failli provoquer un incendie chez moi »*, avoue-t-elle, soulignant **les dangers quotidiens** liés à son état.
Une résistance acharnée contre l’oubli
Malgré le diagnostic, Rebecca choisit le combat. Sur **les réseaux sociaux**, elle partage son histoire avec une transparence touchante, contribuant à briser les stéréotypes sur l’Alzheimer précoce.
Sa motivation ? Préserver sa relation avec ses enfants et collecter **des fonds** pour affronter les défis à venir. *« Je veux qu’ils se souviennent de moi au-delà de la maladie »*, murmure-t-elle avec tendresse.
Son message d’espoir : « Soyez simplement présents »
Son conseil aux proches de patients est lumineux : préférez la présence silencieuse aux discours bien intentionnés. *« Une étreinte, un sourire complice… Ces attentions sont ma bouffée d’air »*, insiste-t-elle.
Parfois, c’est dans les gestes simples que se niche le plus grand réconfort.