Un expert aéronautique révèle une théorie alarmante sur le crash du vol Air India

Le vol Ahmedabad-Londres s'est tragiquement écrasé en juin 2025, faisant des centaines de victimes parmi les passagers et la population locale. Un spécialiste expose désormais des conclusions troublantes concernant les origines possibles de cette catastrophe aérienne sans précédent.
Un signal d’alarme retentit peu après le décollage
L’appareil venait à peine de s’élever à 190 mètres que l’équipage déclarait une urgence en vol. Quelques instants plus tard, l’avion percuta le sol dans un violent embrasement. Des témoins décrivent une explosion spectaculaire et des flammes visibles à des kilomètres. Certains habitants du voisinage se sont précipités pour porter secours aux passagers. Si une boîte noire a été récupérée, son décryptage n’a pas encore livré tous ses secrets.
Une chute brutale qui interroge
Pour Dr Sonya Brown, spécialiste en ingénierie aéronautique, les vidéos de l’accident et les relevés radar indiquent une chute vertigineuse de la vitesse. L’experte suspecte un « décrochage aérodynamique », ce phénomène où l’appareil ne parvient plus à maintenir son altitude suite à une réduction trop importante de sa vitesse. Cette situation critique pourrait découler d’une défaillance des moteurs, bien que l’origine précise du problème demeure inconnue pour l’instant.
Des alertes techniques ignorées ?
Plusieurs voyageurs ayant pris ce vol quelques heures avant le drame rapportent des problèmes électriques inquiétants : systèmes d’affichage coupés, climatisation défaillante… Des images révèlent par ailleurs que la turbine de secours (RAT), normalement activée lors d’une perte complète d’énergie, fonctionnait déjà. Ces indices confortent l’hypothèse d’une panne technique catastrophique.
Une possible confusion dans le cockpit
Le commandant Steve Chen, vétéran de l’aviation commerciale, propose une autre piste : le copilote aurait pu actionner par erreur les volets au lieu du train d’atterrissage. Une telle méprise compromettrait gravement la stabilité de l’appareil lors de l’ascension. Les images confirment que le train était toujours déployé au moment du choc – un élément qui alimente les spéculations.
Météo clémente et poids conforme
Tous les experts s’accordent sur deux points : les conditions atmosphériques étaient optimales. Aucune turbulence ni vent violent n’a été enregistré. Par ailleurs, le poids total de l’avion, carburant inclus, ne dépassait pas les limites autorisées. L’appareil aurait normalement dû pouvoir compenser la défaillance d’un seul moteur sans conséquence dramatique.
L’enquête se poursuit
Les enquêteurs indiens, épaulés par des spécialistes américains et britanniques, analysent minutieusement les données des enregistreurs. Toutes les causes potentielles sont examinées : problème mécanique, erreur humaine, défaillance des systèmes électroniques, ou même carburant altéré. Ce crash, le plus meurtrier pour Air India depuis près de 30 ans, ravive les interrogations sur la sécurité aérienne mondiale.
Un mystère qui persiste, rappelant cruellement qu’en aviation, le diable se cache souvent dans les détails les plus infimes.