La stratégie rusée de la veuve face à l’avare : garder son héritage

Découvrez comment une femme a su respecter les dernières volontés de son mari avare d'une manière astucieuse, malgré son refus de partager sa richesse même après sa mort.
Un individu obsédé par sa richesse
Durant toute son existence, cet homme n’avait qu’une seule obsession : l’argent. D’une radinerie extrême, il surveillait chaque sou, refusant toute dépense inutile. Sa compagne, habituée à son penchant pour l’économie, s’était résignée… jusqu’à ce que son conjoint lui fasse une requête des plus surprenantes.
Sur son lit de mort, il lui fit part solennellement de son souhait :
« Lorsque je trépasserai, je désire que tu mettes l’intégralité de mes finances dans mon cercueil. »
Face à cette exigence déconcertante, la veuve s’engagea à honorer sa volonté. Cependant, avait-elle réellement l’intention de renoncer à tout pour satisfaire ce dernier désir ? Rien n’était moins certain…
La révélation au moment du cercueil
Lors des funérailles, la cérémonie se déroula comme prévu. Les proches et amis se rassemblèrent pour rendre hommage au défunt. Juste avant la clôture du cercueil, la veuve interrompit les pompes funèbres :
« Attendez une seconde ! »
Dans la stupéfaction générale, elle approcha une boîte à chaussures, qu’elle déposa délicatement à l’intérieur du cercueil. Des murmures se propagèrent parmi l’assemblée.
Son amie, perplexe, l’interpella :
« Quelle était cette boîte à chaussures ? »
Avec une sérénité déconcertante, la veuve répondit :
« Mon époux souhaitait être inhumé avec toute sa fortune. Je l’ai donc placée dans cette boîte. »
Les visages autour d’elle se figèrent d’incompréhension. Son amie s’exclama :
« Es-tu folle ? As-tu réellement enterré toute sa richesse avec lui ? »
C’est alors que la veuve dévoila son coup de maître…
Un engagement respecté… à sa manière
Sans perdre son sourire, la veuve expliqua :
« Je suis une femme intègre, je ne pouvais rompre ma promesse. J’ai donc rassemblé l’ensemble de l’argent, je l’ai transféré sur mon compte… et je lui ai émis un chèque ! »
Un silence total… puis un éclat de rire général !
L’intelligence face à la parcimonie
Par ce geste, la veuve parvint à contourner la demande absurde de son mari sans trahir sa parole. Après tout, s’il tient tant à son argent, il pourra toujours encaisser son chèque dans l’au-delà…
Cette anecdote, véridique ou non, illustre que l’humour et la ruse peuvent parfois être les meilleures réponses à l’absurdité.
Et vous, quelle aurait été votre réaction à sa place ?